Biensûr, le plus grand yacht du monde – une construction unique. Ce yacht géant Azzam, il a une longueur de 180 mètres, il a été construit en 2013, en avance sur son concurrent
Qu'est-ce qu'un voilier multicoque?Les caractéristiques d’un bateau à voiles multicoqueUn voilier multicoque comporte plusieurs coques distinctes reliées entre elles par une structure rigide 2 pour le catamaran et 3 pour le trimaran pour les multicoques les plus connus. Il y a aussi le quadrimaran avec 4 coques et le pentamaran qui comporte 5 disposant que de moteurs auxiliaires, les multicoques avancent grâce à la force du vent qui tend les voiles. Afin d’empêcher la dérive et qu’ils ne se déplacent en crabe, ils sont équipés d’une dérive relevable ou de dérives situées sur les un monocoque n’est pas le plus stable des voiliers et peut gîter beaucoup la gîte, c’est quand un voilier s’incline de quelques degrés du fait de la force du vent ou de causes naturelles, un multicoque l'est beaucoup plus grâce à sa largeur et à ses flotteurs. Positionnés de chaque côté du voilier, ils empêchent celui-ci de pencher plus ou moins d’un côté. Les multicoques sont d’ailleurs réputés pour ne pas avoir trop de gîte et les personnes sujettes au mal de mer apprécieront particulièrement cette caractéristique. Cependant, le multicoque tangue beaucoup d’avant en arrière et le mauvais temps ne lui fait pas de multicoque sera souvent accompagné d’un bateau annexe afin de pouvoir rejoindre la terre ferme. En effet, dû à leur taille, les multicoques auront plus de mal à trouver une place dans un port ou une marina et devront, le plus souvent, s'amarrer sur un corps mort. Il est possible de trouver de nombreux bateaux annexes dinghies, barques, semi-rigides ou avantages des multicoquesUn multicoque offre quelques avantages quand on choisit ce type de voilier pour naviguer une faible gîte ;une grande surface de pont ;une stabilité importante ;un faible tirant d’eau ;etune faible résistance à l’eau lors de la ce soit pour de la navigation de plaisance ou pour une course à voile, votre multicoque idéal se trouve parmi nos nombreuses annonces. Ellesert à augmenter la surface de voilure par vent latéral surtout sur les navires à voiles carrées, pénalisés par vent latéral. Le foc désigne une voile d'avant de forme triangulaire d'un voilier.Cette voile est retenue par son guindant à l'étai le long duquel elle coulisse pour être hissée. Quelle est la meilleure allure voile ? Petit largue ; c'est l'allure la plus rapide

Vous souhaitez voguer sur la grande bleue. Sans permis, de nombreuses possibilités sont ouvertes. Elles vont du bateau pneumatique jusqu’aux grands navires à voiles, en passant par les canoë-kayak, et quelques navires à moteur. Mais si vous souhaitez piloter une plus large flotte de navires, et spécialement celle des bateaux à moteur de plus de 6 chevaux, il vous faut un permis bateau. L’aventure est belle. Vous ne regretterez pas d’avoir passé cet apprentissage riche en émotions. Il vous ouvrira grandes les portes des mers et des océans. Le permis côtier, le premier des permis en mer Le permis pour bateau en mer est obligatoire en France lorsque la puissance de l’appareil dépasse les 6 chevaux. Un permis bateau option côtière vous permettra de naviguer, de jour comme de nuit, dans la limite des 6 miles d’un lieu d’accostage. L’option côtière » est la première étape du permis bateau en mer. Elle est indispensable pour accéder à l’extension hauturière ». L’expression permis en mer» est un peu trompeuse, puisque le permis bateau mer autorise aussi la navigation sur les lacs et les plans d’eau fermés. Pour s’inscrire dans un bateau école, et passer le permis côtier, il faut avoir au moins 16 ans. La formation est à la fois théorique, avec un QCM de 30 questions, et pratique, avec 3 heures 30 de navigation dont deux heures au minimum à la barre pour le candidat. Il faut maîtriser les règles de manœuvre en mer, connaître les balisages de jour et les feux de nuit, ainsi que les signaux phoniques, pour donner ses intentions de manœuvre aux autres navires. Il est nécessaire de savoir manœuvrer pour récupérer un homme à la mer. Il faut aussi avoir quelques notions de mécanique indispensables, telles que les vérifications à faire avant d’appareiller, ou les paramètres du moteur à surveiller pendant la traversée. Le permis hauturier, l’extension du permis en mer Le permis bateau mer extension hauturière » ne peut être passé que si le permis côtier est déjà acquis. Le permis hauturier va permettre d’aller plus loin, au-delà de la limite des 6 miles d’un abri. La nouveauté, c’est aussi qu’il va vous falloir être capable de savoir lire les cartes marines et de calculer votre position géographique. L’examen dure 1 heure 30 et porte sur la navigation manœuvres des différents bateaux, entretien du moteur et petites pannes, la météorologie, la marée, ainsi que sur la réglementation. Le permis fluvial, pour bateaux de moins de 20 mètres Le permis fluvial limite la navigation aux eaux intérieures, sur les fleuves et les canaux. Ce permis plaisance en eaux intérieures » est obligatoire lorsque la puissance du moteur excède 6 chevaux, et lorsque les bateaux ne font pas plus de 20 mètres de long au-delà, une extension de permis est prévue, c’est la grande plaisance ». Le permis plaisance » peut être obtenus à partir de 16 ans 18 ans pour l’extension, après un examen comprenant une épreuve théorique, sous la forme d’un questionnaire à choix multiple en vingt-cinq questions, et une épreuve pratique, validée par un formateur agréé. Le permis fluvial grandes eaux, pour les grands bateaux L’extension du permis fluvial à la grande plaisance en eaux intérieures», pour le pilotage des bateaux de plus de vingt mètres, est accessible aux candidats âgés de 18 ans au minimum, après une formation pratique supplémentaire d’au moins neuf heures, dont 5 heures à la barre sur 3 ou 4 jours. Tous les exercices, dont par exemple les techniques d’amarrage, l’accostage et le passage d’écluses, le demi-tour, sont effectués sur un bateau de plus de vingt mètres. Les permis spécifiques, pour les jets ski et les voiliers Il faut avoir au moins 16 ans pour piloter un scooter des mers, également appelé jet ski. Il est possible de pratiquer cette discipline sans permis, mais il faut alors être assisté d’un professionnel. Pour piloter de façon autonome un jet ski dont la puissance est supérieure à 6 chevaux, un permis est nécessaire, jusqu’à 1 mile depuis le rivage avec un jet-ski à bras, c’est-à-dire sur lequel le conducteur se tient debout, et jusqu’à 2 miles avec un jet-ski à selle. Il faut donc suivre la même formation que pour passer un permis bateau côtier, avec épreuve pratique en mer sur jet ski. Pour naviguer en haute mer ou en eaux intérieures et fluviales, avec un jet ski dont la puissance est supérieure à 6 chevaux, il faut en outre un permis hauturier. Quant aux voiliers, il est important de souligner qu’il n’existe pas de permis spécifique nécessaire au pilotage d’un voilier en France, que ce soit en mer ou sur les eaux intérieures, et quelle que soit la grandeur du bateau ou de sa voilure. Il est cependant raisonnable de prendre la mer avec quelques connaissances théoriques, sauf à mettre en danger la sérénité du voyage sur l’eau. Pour ne pas naviguer vers la catastrophe, il est nécessaire, au minimum, de connaître les balisages utilisés en mer et les règles de priorité, de savoir calculer les marées et lire une carte marine. Et quand un voilier dispose d’un moteur de plus de 6 chevaux, il faut un permis bateau. En outre, certains pays, tels que l’Allemagne, l’Autriche, le Luxembourg, l’Italie, le Portugal, l’Espagne pour les voiliers de plus de 5 mètres, la Suède pour les voiliers de plus de 12 mètres, et la Suisse pour une surface de voiles de plus de 15 m2, réclament un permis voilier, même s’il n’y a pas de moteur. Alors, si vous voulez quitter les eaux territoriales françaises, munissez-vous d’un précieux permis bateau ! Enfin, il est indispensable de posséder, pour naviguer dans les eaux internationales, un certificat restreint de radiotéléphonie » Le permis bateau, un bon moyen de faire profiter encore plus du parachute ascensionnel. La navigation, en mer ou sur des eaux intérieures, offre des sensations uniques et vous permettra d’offrir des excursions très agréables à vos proches. Choisissez avec soin votre monture, pour savoir si un permis bateau est nécessaire. Avec le bon permis, vous pourrez vivre sereinement de magnifiques expériences sur l’eau, et partir à la découverte de magnifiques paysages. C’est peut-être la raison pour laquelle il n’est pas rare que le coût d’inscription au passage d’un permis bateau soit offert en guise de cadeau d’anniversaire ou de cadeau de départ à la retraite les amis et les proches savent qu’une fois ce précieux sésame en poche, l’horizon n’a plus de limites.

Cebateau existe en 2 versions : la version Sport avec un foc et une bôme fixée sur l'embout de pied de mât dans le deux cas, pour un usage (L’usage est l'action de se servir de quelque chose.) de loisirs par deux personnes, tandis que la version SE a seulement une grand-voile (Sur un voilier, la grand-voile est:), il est conçu pour la course en
C’est par une superbe journée ensoleillée, avec juste ce qu’il faut de vent que nous avons mis à l’eau notre Seil 18, désormais baptisé Stella di Mare ». Les trois charpentiers Jean-Pierre Havard, Marc Ernatus, Michel Defaux qui s’étaient relayés toute l’année nous avons commencé à assembler ce bateau en mars 2017 et notre présidente Malika Adassen-Taleb étaient à bord pour ce premier essai concluant, piloté par notre skipper Jacques Lafon merci Jacques. Le bateau est bien assis sur l’eau, remonte bien au vent, la voile qui porte le N° 147 porte bien… René Siot, fondateur et président d’honneur du club a pris la parole pour rappeler que Nautique-Sèvres est le seul club de voile en France a construire ses propres bateaux » Bref, les cinquante personnes présentes sur la base de l’Ile de Monsieur ont apprécié ce moment rare le dernier bateau baptisé à Sèvres était le canot à moteur Austin-Healey de François Batiot il y a maintenant deux ans. C’est désormais arrimé au ponton que vous pourrez voir notre Seil 18. Rappelons que ce bateau, un voile-aviron de 4,50 m de long dessiné par l’architecte naval français, François Vivier dont nous possédons déjà 4 exemplaires a le grand avantage de pouvoir emmener jusqu’à 5 personnes qui peuvent être des stagiaires pour l’Ecole de Voile ou des personnes à mobilité réduite PMR. Sa forme de prame lui donne une grande stabilité et donc de bonnes performances sous voile au près, ainsi qu’un comportement nautique très sain et sûr, y compris aux allures portantes. La grande voile au tiers est amurée au pied de mât et n’a pas à être changée aux virements de bord. Sa surface mouillée modérée, avec un tableau bien dégagé, en fait en même temps un très bon bateau d’aviron. Cette nouvelle version du Seil dit Seil 18, en contreplaqué-époxy de 9 mm d’épaisseur a été étudiée début 2008 pour y intégrer le meilleur des améliorations apportées au Seil au fil des ans bancs latéraux, planchers pouvant constituer une plateforme pour coucher à bord, rangement moteur hors-bord… Près de 500 heures de travail Les premiers travaux ont commencé en mars 2017 par le rangement de toutes les pièces bois et leur ébavurage. La découpe à l’outil fraise sur machine à commande numérique a le grand avantage de nous donner des formes précises mais laisse des petits ergots et des bavures qu’il faut enlever à la lime à bois et au papier de verre. Ensuite, les pièces ont été rangées et annotées pour constituer des ensembles. Par exemple, nous avons 9 bordés composés chacun de trois éléments, ce qui fait 27 pièces à identifier, ébavurer et regrouper avant le prochain collage époxy des scarfs. Ces éléments en contre-plaqué marine ont été imprégnés par résine époxy, notamment la tranche des pièces pour éviter toute infiltration de l’humidité. Nous avons ensuite construit le mannequin qui sert de référence pour le montage des couples, du puits de dérive, du tableau arrière et de la marotte partie avant du bateau. Toutes les pièces constitutives ont été soigneusement préparées par exemple le puits de dérive suppose l’assemblage époxy et vis de pièces de bois et contre-plaqué marine, renforcées par la dépose en interne de tissus de verre + époxy. Le tableau arrière nécessite le collage de deux pièces en contre-plaqué marine et la mise en forme des contours inclinés pour accepter les bordés. Enfin, la marotte est constituée de plusieurs tasseaux de sipo pour constituer une pièce robuste de 30 mm d’épaisseur. Jean-Pierre a ensuite passé beaucoup de temps à la découper en respectant les différents angles sur le pourtour. Le puits de dérive a été positionné en place et collé sur les couples correspondants. La marotte le nez du bateau et le tableau arrière ont été positionnés et fixés avec précision. Cette opération réalisée, nous avons posé le premier élément de la coque la sole bordé de fond. Celle-ci a été suivie des deux premiers galbords et des clins suivants. Au total, la coque comportait neuf éléments tous collés à la résine époxy. Une fois cette étape de la construction de la coque terminée renforcée par deux couches de tissus de verre, nous avons retourné le bateau pour réaliser toutes les finitions intérieures construction et remplissage des coffres de flottabilité, mise en place des planchers et des bancs, renforts à l’avant et à l’arrière par des étambots, couvercle de coffre, pose d’un cordage de gros diamètre pour protéger l’avant sans oublier les peintures et vernis. La dernière étape a consisté en la réalisation du mât et de vergue avec les opérations de matelotage que cela suppose. Une construction terminée par la pose du nom Stella di Mare » en décalcomanie. Ce Seil 18 pouvait retrouver ses quatre autres camarades. Bon vent ! Merci à Oscar Brouchot de Hydro Vinci pour les photos Bienque possédant un échantillonnage renforcé, le bateau est plus léger qu’une construction de série grâce à son mode de construction en composite bois époxy, selon F5/10r Tenrater La classe 10 est une classe de voiliers de construction. La longueur de la ligne de flottaison est inversement proportionnelle à la surface de voile. Caractéristiques générales. La classe 10 est une classe de voiliers de construction. La longueur de la ligne de flottaison est inversement proportionnelle à la surface de voile. LWL * S / 122 903 = < 10 au maximum = Valeur de course LWL = la longueur de la ligne de flottaison mesurée en eau douce et en cm. S = la surface de voile en cm². Il en résulte une surface de voile maximale de 1 229 030 / LWL. La coque. A- Voilier exclusivement monocoque, tous les types de safrans et de quilles sont permis. Le lest doit rester inchangé sur la durée des régates et des compétitions. B- La ligne de flottaison de la coque est mesurée du point de plongement le plus en avant, jusqu’au point le plus en arrière. Les découpes ou les ouvertures dans le profil de la coque ne réduisent pas cette longueur. C- Chaque partie du voilier y inclus le gouvernail sous la ligne de flottaison qui dépasse ces points extrêmes de la ligne de flottaison, est additionnée à la longueur de la ligne de flottaison. D- La coque doit posséder une défense. Elle devra être fabriquée d'un matériau élastique caoutchouc, mousse, ... et doit avoir une épaisseur minimum de 1cm. Le gréement. A- Tout mât est autorisé mât profilé, m. courbe, m. à ralingue, m. enveloppant, etc.. Le diamètre maximum sur l'ensemble du mât ne peut pas dépasser 2,0 cm. Il n'y a pas de restriction sur la longueur et le nombre de lattes de voile. Leur largeur maximum est de 2,0 cm. B- La surface de voile est augmentée en outre de la surface du mât, de la têtière, des lattes dépassant la voilure ou de toute partie du mât qui peut faire avancer le voilier, à l’exception cependant du Spinnaker. Si le diamètre de la bôme et du mât ne dépasse pas 20 millimètres et s’ils ne présentent pas de dépassements des voiles excessifs leur surface est négligée. C- Seules, les mesures de la surface du plus grand jeu de voiles sont retenues. Ce jeu doit être marquée par la lettre A ». D- D’autres jeux de voiles sont autorisés sous condition que leurs surfaces ne dépassent pas les surfaces du jeu A » Le foc sur le foc, la grand-voile sur la grand-voile. E- Le signe de classe est le chiffre 10 arabe. Cette caractéristique est à placer avec le signe de nationalité LG et le numéro de licence sur la grand-voile de chaque jeu de voiles. Mesurage des voiles. A- Dans le calcul de la surface de voile on décompose celle-ci en de petites surfaces. Lorsque les voiles sont limitées par des bords convexes, ces compléments sont ajoutés ainsi que les éléments en avant du mât. Lorsque les voiles sont limitées par des bords concaves la surface est réduite en conséquence. B- Relevé des voiles à base triangulaire. Grand-voile A * B / 2 Foc Q * R / 2 A = longueur verticale mesurée entre la bôme et le point d’écoute supérieur de la grand-voile B = longueur de la grand-voile mesurée perpendiculairement au mât au niveau de la bôme. Pour les voiles prises avec le mât, le diamètre du mât doit être inclus. Q = longueur entre le point d’écoute avant et le point de capelage du foc R = longueur de l’éloignement perpendiculaire à la ligne Q’. C- Relevé des éléments courbes. Surface des éléments courbes = C * H / constante C = la ligne de base de la surface courbe de ralingue = la ligne de base de la surface additionnelle entre les deux points extrêmes que forme la base triangulaire des surfaces de voile H = la distance maximale de la ligne de base jusqu’au bord de la voile. La constante à utiliser dépend de la forme de la courbe C-1. Pour une courbe unique régulière entre les points extrêmes de la ligne de base la constante est 2/3 C-2. Si le bord de voile est parallèle à la ligne de base pour plus de sa demi-longueur ou si la courbe touche en plusieurs endroits la ligne de base la surface réelle est calculée. Pour ce faire, la surface est décomposée en surfaces triangulaires et en éléments courbes. C-3. En présence d’une courbe unique et non régulière entre les points extrêmes de la ligne de base la constante est 3/4. D- Relevé du mât. Surface de mât = H * D + E + F / 3 H = la hauteur de mât, est mesurée du pont jusqu'au point le plus haut du mât La barre de flèche et son prolongement sont ignorés. D = la largeur de mât à la tête de la grand-voile F = la largeur de mât au pied de la grand-voile E = la largeur de mât au milieu entre D et F E- Spinnaker Le Spinnaker n’est pas mesuré. Il doit être utilisé avec tangon de Spinnaker et il doit seulement comprendre une suspension en 3 points. Back Lepermis fluvial, pour bateaux de moins de 20 mètres. Le permis fluvial limite la navigation aux eaux intérieures, sur les fleuves et les canaux. Ce permis « plaisance en eaux intérieures » est obligatoire lorsque la puissance du moteur excède 6 chevaux, et lorsque les bateaux ne font pas plus de 20 mètres de long (au-delà, une À propos de Îles Baléares Les Baléares, archipel au large de la côte orientale de l'Espagne ne manque pas de charme. Aux cinq îles principales que sont Majorque, Minorque, Ibiza, Formentera et Cabrera viennent s'ajouter d'autres îlots de superficie moins importante qui ont pour nom Dragonera, Conejera et Espalmador. Chaque île possède sa particularité pouvant séduire tous voyageurs confondus. Entre Majorque la plus grande, la plus majestueuse, Minorque la discrète, Ibiza réputée pour ses folles nuits, Formentera où plane encore la nostalgie du flower power, et Cabrera, inhabitée, ce chapelet d'îles perdu en Méditerranée attire chaque année les touristes venus profiter d'un temps particulièrement clément aux arrières-saison et d'un soleil généreux l'été. Pour rallier ces petits paradis, le plus rapide est l'avion pour Palma de Majorque, Minorque ou Ibiza. Minorque, Ibiza et Formentera sont également accessibles par Ferry depuis Barcelone. Toutes les îles sont reliées entre-elles par voie aérienne ou maritime à l'exception de Formentera qui ne dispose d'aucun aéroport seulement d'une liaison maritime en 30 minutes depuis Ibiza.Les îles Baléares forment un chapelet d'îles sur la Méditerranée à l'est des côtes espagnoles, caractérisé par un relief accidenté et un littoral découpé. Elles se situent au niveau de Valence et sont éloignées de 88 km du point le plus proche de la péninsule ibérique. Toutes ces îles sont bordées de criques et de baies où l'on profite de plages de sable doré et d'une mer à l'eau transparente. Les îles Baléares sont le paradis rêvé pour la pratique de tous les sports nautiques, balades en mer, snorkelling ou plongée dans les fabuleux fonds marins et une destination idéale pour des vacances en famille ou un séjour à deux pour profiter des eaux azurées de la Méditerranée.Avec plus de 20000 points d'amarrage, Majorque est une île d'abord tournée vers la mer, tout comme ses voisines, Minorque, Ibiza et Formentera. Aux Baléares, les activités nautiques font figure de grands favoris. Les îles se prêtent idéalement à la pratique de la natation, de la planche à voile, de la voile, du kayak, des activités pour lesquelles on trouve facilement des équipements à louer. Plonger aux Baléares, c'est flirter avec une faune et une flore abondante. La côte ouest de Majorque abrite un centre de plongée francophone et le littoral accidenté d'Ibiza et de Formentera comptent pas moins de 80 sports avec une visibilité parfois jusqu'à 30 mètres. Les fonds d'Ibiza ne dépassant pas 35 mètres sont accessibles aux plongeurs de tous niveaux.Pour régaler les gourmands, la gastronomie des Baléares est le résultat d'une histoire ponctuée de dominations diverses et de différentes cultures avec des recettes allant des plats de légumes aux spécialités venues de la mer sans oublier de savoureux mets à base de viande.Les plages de Majorque sont célèbres pour leurs eaux turquoises, notamment celles de Formentor, au nord de l'ile. Depuis le bateau on peut admirer la célèbre cathédrale de Palma la deuxième plus grande d'Espagne après celle de Séville. Louer un bateau permet l'accès aux petites criques cachées et inaccessibles par la terre. Minorque, compte près de 70 plages protégées. Cette île habitée depuis la préhistoire abrite de nombreux mégalithes disséminés en tous endroits. Ibiza, en plus de détenir le titre de capitale mondiale de la fête, est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1999 pour sa biodiversité avec son parc des Salines, repère de plus de 200 espèces d'oiseaux, et son patrimoine archéologique riche en vestiges phéniciens et puniques.Louer un bateau facilite la découverte de sites non accessibles par la terre et en conséquence, peu ou pas fréquentés par les touristes. C'est l'occasion de profiter de la tranquillité de criques sauvages, à l'abri des regards et de vacances où l'on a l'impression d'être seul au monde. Les côtes, quelque soit l'île sur laquelle on se trouve, sont jalonnées de petits ports permettant de s'approvisionner très facilement. Certaines îles comme Formentera ou Cabrera ne peuvent être rejointes qu'en louant un bateau on découvre ces îles comme jadis le firent les Espagnols, Grecs, Carthaginois, Vandales, Byzantins et Maures séduits par leur charme resté identique.Pour se déplacer lors d'un séjour aux îles Baléares avoir un bateau comme moyen de transport à sa disposition est de loin la meilleure solution pour profiter à fond de ses vacances. Il permet de découvrir chaque escale à son rythme avec le privilège d'être le capitaine de son embarcation. Il est tout à fait possible de naviguer sans équipage et d'être aux commandes d'un bateau de moins de 6 chevaux pour les personnes ne possédant pas le permis bateau. Si l'on accoste à Palma et que l'on ne dispose que d'une journée pour la visite de la ville, il existe une certain nombre de sites incontournables comme l'impressionnante cathédrale gothique, le palais de La Almudaina, le palais épiscopal et l'Hôtel de Ville avant de rejoindre la halle des marchands.Pour bien parcourir les Baléares en catamaran, il est conseillé de consacrer une semaine pour chacune des deux îles principales, Majorque et Minorque et une semaine supplémentaire pour Ibiza et Formentera. Naviguer d'île en île et mouiller l'ancre dans des criques innacessibles par la route, naviguer au milieu des dauphins et contempler le soir le ciel étoilé depuis son embarcation est un réel bonheur. Il est également possible d'amarrer le catamaran une journée et de louer une moto ou une voiture pour visiter l'arrière-pays et profiter de tout ce que le patrimoine culturel, gourmand et festif peut offrir.La location d'un monocoque de 8 à 11 mètres offre de réelles sensations de navigation pour un budget raisonnable. Les voiliers de 11 à 15 mètres proposent un confort optimal avec beaucoup plus d'espace à bord. Les voiliers nécessitent du vent mais offrent aussi de belles expériences maritimes. Quel plaisir de hisser la voile et d'accomplir des gestes de vrais marins ! Le yacht est un bateau à moteur idéal pour visiter les criques et les plages discrètes. Enfin, les catamarans, multicoques, sont très stables et disposent de grandes cabines pour plus d'intimité et le faible tirant d'eau permet d'aborder au plus près des côtes. Ils sont par ailleurs plus puissants et peuvent couvrir de plus grandes distances.

Cest sans doute une première : la voile d'un bateau de course ne sera pas vendue comme espace de publicité. Le skipper Nicolas Rouger a l'idée de vendre 300

Cette version du forum n'est désormais accessible que pour lire les passionants échanges et partage de techniques qui ont déjà été rédigées ici. Pour participer aux échanges interscouts, merci d'utiliser le nouveau forum Auteur Voile enrouler or not enrouler tridentMembre confirmé Nous a rejoints le 28 Fév 2009Messages 1 494Réside à Montréal, Québec Parlons voile - bin ouais, pourquoi pas, avec les quelques scouts-marins ci et là. En fait, plus particulièrement à un machin qu'on appel l'enrouleur et qui est souvent utilisé à mauvais escient. En effet, bon nombre de marins d'eau douce pensant bien faire en enroulant une certaine quantité de sa voile d'avant pour régler son problème de gîte. Premièrement, une grand-voile GV de qualité devrait posséder 3 ris alors que la plupart des GV vendues viennent seulement avec 2 ris. Cela dit, il est relativement facile d'y apposer un troisième ris par un couturier averti. Si tous les ris ont été pris et qu'on a encore beaucoup de gîte, on l'affale. Vous pensez que vous allez perdre beaucoup de vitesse? Détrompez-vous. Lorsqu'on est au vent à contrario du portant - le vent qui nous pousse, c'est le phénomène de l'aile d'avion qui s'applique et donc ses vecteurs. Il faut alors voir l'ensemble des voiles comme une seule voile. La GV devient alors le prolongement de la voile d'avant. Dans cette situation, la voile d'avant est la propulsion alors que la GV est le gouvernail. Sur 6 kt à voile, au moins 4,5 kt proviennent de la voile d'avant. Bref, la GV compte pour des broutilles. Si et seulement si on est au vent. Au portant, c'est la surface de toile qui compte, mais alors, gare à l'aulofée - mais ça, c'est une autre histoire. Mais qu'est-ce que c'est enquiquinant que de prendre un ris sur la route, me direz-vous, hein! Je répondrai que ça fait parti du brevet élémentaire de Voile Canada, mais bon... Et d'ailleurs, pas besoin de moteur pour partir à son mouillage - mais ça, c'est une autre histoire également. Ça serait donc le moment d'apprendre à barrer au près serré, soit encore plus qu'au près, ce qui fait que le voilier est à la limite du décrochage avoir le vent dans la zone impossible, mais est redevenu quasiment droit l'assiette. Beaucoup plus aisé alors d'aller au mât pour effectuer les manoeuvres. Se déplacer toujours du côté d'où provient le vent. On est donc au vent et non pas sous le vent, car sous le vent, l'équipier au mât serait caché par la GV. Inutile d'insister sur le fait que tout équipier sortant du cockpit doit revêtir son VFI et être attaché à la ligne de vie, peu importe les conditions. Hélas! Prendre un ris ne sera pas le réflexe du marin d'eau douce. Pourquoi ne tout simplement pas enrouler un petit peu la voile d'avant qu'il se dira? Quand il y a plus de vent, il est fort à parier qu'il y a plus de vagues. Pour garder de sa manoeuvrabilité, la voilier doit donc conserver une certaine vitesse, car à chaque vague rencontrée, une partie de sa vitesse sera perdue - ça vient par vague - c'est le cas de le dire. Bon, en rentrant "un petit peu" la voile d'avant sur l'enrouleur, cela va avoir une incidence sur le guindant une voile triangulaire ayant 3 côtés, celui qui se fait enrouler est le guindant, car un enrouleur n'est pas conçu pour enrouler à moitié. Le guidant deviendra donc mou, ce qui accentuera le creux dans la voile le vent souffle dans la voile, ça forme un creux. Qui dit creux dit augmentation de la puissance de la voile, donc de la gîte. Alors que notre objectif est de réduire la puissance pour réduire la gîte. Autre conséquence. En enroulant un peu la voile, celle-ci n'ayant rien de la forme d'un triangle rectangle, la partie parallèle au pont la bordure va graduellement s'élever. En s'élevant, le creux de la voile va aussi se déplacer vers le haut, ce qui accentuera donc la gîte. Le réflexe sera alors d'enrouler davantage la voile. Se faisant, réduisant la surface de la voile d'avant ainsi, on perd de la puissance, donc de la vitesse et donc de la manoeuvrabilité. La meilleure façon de réduire la puissance de la voile d'avant sans la changer, c'est de jouer avec son creux. Pour se faire, il y a le chariot d'écoute. Un bon chariot se doit d'être long, partant à la hauteur du point d'écoute de la voile d'avant pour aller vers l'arrière. Celui-ci doit être collé sur la cabine plutôt qu'à l'extérieur du passe-avant, ce qui permet de fermer davantage le plan de voile de le rapprocher le plus du mât et donc de naviguer plus au près. Plus le chariot sera positionné dans la ligne de la chute de la voile donc le chariot est plus vers l'avant, plus cela accentuera le creux. En reculant, cela effacera le creux. Mais que faire si on veut réduire la surface de la voile tout en maintenant un certain creux pour conserver une bonne puissance? Il est temps de faire la connaissance avec le barber hauler. Il s'agit d'une contre-écoute qui est retourné au cockpit via une poulie installé au point d'étai de la voile d'avant. En reculant le chariot d'écoute et en halant le barber hauler, on efface la partie supérieur de la voile et on maintient un creux dans le bas de la voile. Magnifique, isn't it? Le marin aguerri aura compris qu'une combinaison des deux chariot d'écoute et barber hauler permet d'augmenter ou de réduire le creux tout en le déplaçant plus ou moins haut. Bien que la gîte soit grisante, les voiles ne l'aiment pas - ni le cuistot d'ailleurs. Cela les use prématurément. À moins de faire une course où un quart de noeud a son importance, réduire la voilure de façon adéquate aura peu d'incidence sur la vitesse, mais ô comment la navigation deviendra plaisante puisque l'assiette beaucoup plus droite. L'expression "navigation de plaisance" prendra alors tout son sens. ^^ En conclusion trois ris sur la GV et un foc de route 2 le point d'écoute ne dépasse pas le mât avec un ris parce que oui, une voile d'avant est arisable, vous êtes capable de facilement naviguer dans des vents de 12 à 25 noeuds sans aucun problème et sans à devoir changer de voile. La place étant un luxe, on réalisera que les ris nous en sauvent beaucoup. 0 Akela NDEAkela Nous a rejoints le 01 Avr 2005Messages 4 922Réside à Dijon Tiens, je n'avais jamais entendu parler de barber-hauler de génois ... Tu aurais des photos/schémas ? L'enrouleur, même si c'est tout pas beau, tout plein de trucs en plus qui peuvent péter, anti-performance et anti-positionnement du creux, c'est quand même un outil bien pratique. Aujourd'hui, en France, il est quasiment impossible de trouver un bateau de location dont le génois voire le génois et le solent ou la trinquette, quand il y en a ne soit pas sur enrouleur, sauf sur certains types de bateaux de course Grand Suprise, Pogo, etc. C'est quand même une sécurité certaine que de pouvoir réduire la voile d'avant sans avoir à sortir du cockpit, ni à trimballer 20 kg de toile mouillée sur le pont ... Donc, un enrouleur peut vraiment être un choix judicieux si on navigue en équipage réduit, ou avec des gens peu expérimentés ou très sujets au mal de mer. Maintenant, c'est clair que pour un équipage de routiers marins qui aurait son bateau à lui, s'il y a un enrouleur ... Après, il faut garder à l'esprit que les voiles se réduisent de façon symétrique on ne va pas se trimballer avec 3 ris pris et tout le génois en l'air ... Quand il y a besoin de réduire la toile, commencera toujours par prendre un ris à la GV, parce que c'est le plus efficace ; ensuite, s'il faut encore réduire, on enroulera/arisera/changera le génois - pour garder des voiles à peu près équilibrées de chaque côté du mât. Ensuite, 2° ris, encore un peu de génois, etc. Pour ceux qui pensent que prendre un ris est compliqué ce avec quoi je ne suis pas du tout d'accord c'est MARRANT d'aller prendre un ris en pied de mât !, on trouve aussi beaucoup de bateaux équipés de ris automatiques, où la bosse de ris sert à border et le point de tire, et le point d'amure. Avantage pas besoin d'aller en pied de mât, il suffit d'embraquer la bosse pour prendre son ris [spoilerBien sûr, il faut toujours s'occuper de la drisse, du hale-bas et de la balancine]. Inconvénient ça rajoute de sacrées longueurs de bout, surtout pour les 2° et 3° ris, donc ça peut se coincer et/ou rendre le hissage assez casse-pattes, et s'il n'y a que deux bosses de ris à poste, on ne peut pas basculer le 1 sur le 3 une fois qu'on a pris le 2. Sinon, on trouve aussi des GV sur enrouleur, mais là, on rentre dans le domaine du matériel pour Hollandais Quant aux voiles d'avant arisables, ça me semble être génial et merveilleux, mais malheureusement, je n'en ai jamais vu qu'en photo 1 mendu1Membre honoré Forêt Campeur Nous a rejoints le 22 Janv 2007Messages 6 678Réside à ar vro vigoudenn on vend aussi des bateaux à moteur ! pas besoin de prendre un ris . Au troisième ris, il vaut mieux rentrer, ou sortir le tourmentin ! 2 tridentMembre confirmé Nous a rejoints le 28 Fév 2009Messages 1 494Réside à Montréal, Québec To be beau or not to be beau n'est même pas ze question of ze enrouleur. ^^ Réduire partiellement la voile d'avant avec l'enrouleur n'est pas du tout adéquat et n'est pas une bonne pratique. CF mes explications précédentes. Il existe un machin beaucoup mieux que l'enrouleur. Ça s'appelle l’emmagasineur ou un truc du genre. Ça sort ou ça rentre au complet une voile. C'est merveilleux et beaucoup plus sécuritaire qu'un enrouleur. ^^ La réduction des voiles de façon symétrique est très relative au type de vent et à l'allure et n'a rien d'absolu. Sur un sloop, il faut aussi comprendre que si on navigue uniquement avec la GV, il sera plus ardent il voudra remonter vers le vent et plus mou il s'éloignera du vent si on navigue avec la voile d'avant seule et encore, ça dépend de l'emplacement du safran et du type de quille. Et réduire un peu la voile d'avant sur l'enrouleur, ça ne sert qu'à perdre de la vitesse et de la maneuvrabilité. Vaut mieux alors changer de voile. Mais là, je commence à radoter. On parle de génois ou de foc, mais c'est d'abord l'aire de cette voile qui importe. Comme je le disais précédemment, une voile d'avant dont le point d'écoute arrive à la hauteur du mât est une bonne voile générale pour du vent à partir de 12-15 noeuds en-deça, il faut une plus grande voile jusqu'à 25 noeuds facilement si elle possède un ris. Sur un Jeaneau 37', à 20 noeuds, mon foc était complètement sorti et j'avais 3 ris dans ma GV. Alors la symétrie, faut pas en faire une obsession! Par exemple au portant, par vent au-delà des 30 noeuds, il sera judicieux d'affaler complètement la GV pour ne garder que la voile d'avant. Se faisant, le point pivot du voilier vient de passer du mât à l'avant, le rendant ainsi beaucoup résistant à l'aulofée. L'aulofée est probablement le phénomène le plus dangereux sur un quillard. Il survient lorsqu'on est au portant. Le vent donne une certaine force aux voiles, ce qui en résulte un vecteur. La quille agit à titre de force opposée des voiles, ce qui évite au voilier de pivoter. La somme vectorielle de ces deux vecteurs donne la direction du voilier. Mais voilà, par grand vent et mer agitée, les forces sont telles qu'il survient une turbulence autour de la quille. À un certain moment donné, c'est la rupture. Vectoriellement parlant, c'est comme si la quille n'existait plus. À ce moment, il devient impossible au barreur de garder le cap de la roue ou de la barre. Il aura beau à vouloir la maintenir droite, il va s'arracher la peau de la main ou alors il pourrait bien se faire broyer les côtes par la barre tellement il y a de pression sur le safran. On a un tout léger avant-goût de cette pression lorsqu'on est au près. Le voilier n'est alors pas du tout équilibré. Il y a beaucoup de pression dans la portion arrière de la GV, ce qui rend le bateau très ardent. Il faut donc compenser avec le safran, ce qui n'est pas de tout repos! ^^ Donc l'aulofée... Plus de quille, donc plus de force qui s'oppose à celle des voiles et qui donne une direction relative. C'est donc le pivot une embardée violente et soudaine. L'extrémité de la baume de la GV touche à l'eau. S'il y avait des équipiers à l'intérieur, ils sont sûrement assommés. Et à l'extérieur, ceux qui n'étaient pas attachés à la ligne de vie sont à la flotte. Une GV sur un enrouleur, c'est le summum des ris infinis! Par contre, on m'a déjà dit que ça pouvait poser problème lorsque l'usure de la GV commençait à se faire sentir la toile s'étirant et se déformant. Pour le barber-hauler, c'est peut-être le nom qui pose problème. Lorsqu'on utilise un spi, le tangon doit avoir trois points d'appui - La drisse - L'écoute - La contre-écoute barber-hauler Ainsi, le tangon est parfaitement stable. La contre-écoute s'attache au même endroit que l'écoute. Avant de revenir vers le cockpit, elle passe par une poulie à quelque part qui ne gène pas à la proue. Mes talents de dessinateur dans paint Mendu1! Toi un Breton qui dit opter pour le moteur! Quelle déception! 3 mendu1Membre honoré Forêt Campeur Nous a rejoints le 22 Janv 2007Messages 6 678Réside à ar vro vigoudenn Plaisanterie ! Mon bateau un mousquetaire club est parti à la casse cette année . Il me reste, deux grands voiles, plusieurs focs et génois, le mat....et 3 moteurs hors bord . Je n'ai plus le temps de faire du bateau , bien que j'habite en général à 400 m de la mer ! Je n'ai jamais eu d'enrouleur . 4 CorsaireMalouin Mer Vigie - Timonier Nous a rejoints le 22 Oct 2009Messages 1 643Réside à Saint-Malo Le vent-arrière n'est pas l'allure la plus rapide. si tu prend un largue ou même au pré en tirant des bords tu gagnes encore du temps. Et tu navigue sur quelle coquille de noix ou dans quel typhon pour gîter par vent arrière??? enfin bref si tu trouve que tu gîtes trop, met ton équipage au rappel. Et quand tu embarque a nouveau, tu peux à la rigueur reprendre du vent, c'est le barreur qui mène! Désolé pour cette réponse pratique, je ne suis pas aérotechnicien, et je navigue généralement sur bateau de course. Dans tous les cas, que ça soit enrouleur de génois ou -si tu es très riche- de GV, si tu l'utilises pour régler ta surface, tu peux rentrer tout de suite au port tu auras moins à pagayer. 5 KhoubaProgressant Mer Matelot Nous a rejoints le 09 Sept 2009Messages 12Réside à Nantes Petite explication pour cette histoire surprenante du vent arrière qui n'est pas la vitesse la plus rapide dites moi si je me trompe Ce qui fait avancer le bateau n'est pas directement le vent qui arrive dans la voile mais l'aspiration créée derrière cette voile par la déviation du vent ceci créé une sorte de bulle derrière la voile qui, si elle est bien réglée va en quelque sorte tirer de façon optimale le bateau écoulement laminaire, c'est ce principe qui permet aux avions de voler... Ce qui n'est pas le cas en vent arrière où la poussée efficace sera uniquement celle du vent arrivant dans les voiles. A cette allure, l'écoulement de l'autre côté de la voile est complètement irrégulier écoulement turbulent, ce qui nuit à la portance de la voile le bateau sera moins rapide qu'au grand largue. [spoileret PAF une expression de biffin qui part en lambeaux cf "vent du c.. dans la plaine"... Moi du mauvais esprit ? noooooooon ] Trident ouat iz zat emmagasineur ? Un genre de machin terme technique électrique qui hisse ou affale automatiquement une voile ? Mendu il ne reste plus qu'à assembler quelques planches de bois et nous aurons un magnifique radeau de la méduse version go fast 6 CorsaireMalouin Mer Vigie - Timonier Nous a rejoints le 22 Oct 2009Messages 1 643Réside à Saint-Malo j'ai dis que je n'étais pas ingénieur aéronautique. Merci pour la leçon! si j'en crois ça, je ne vois pas de différence entre enrouleur et emmagasineur, sinon qu'il y a une élingue à l'enrouleur. j'ai vu des machins électrique pour abattre et envoyer. sur les yachts des millionnaires qui frappent au quai en face de chez moi, essentiellement. 7 tridentMembre confirmé Nous a rejoints le 28 Fév 2009Messages 1 494Réside à Montréal, Québec Citation Et tu navigue sur quelle coquille de noix ou dans quel typhon pour gîter par vent arrière??? Euh, qui a parlé de ça? Personne à ma connaissance. Pour qu'on se comprenne concernant les allures, en prenant pour acquis que la proue du voilier représente midi sur une horloge à aiguilles je précise, parce qu'une montre numérique, hein! 1h = Près - et non le pré des champs, hein Der Corsaire 2h = Bon plein laissez donc tomber cet idiot de confondant de petit largue là. 3h = Travers 4h = Largue 5h = Grand largue 6h = Vent arrière Voilà des allures simples et facile à comprendre pour n'importe quel scout-marin débutant. Khouba, tu expliques très bien le phénomène qui se produit lorsqu'on est au vent de 1h à 3h. Pour terminer l'explication, on ne pourrait pas naviguer à ces allures si la quille n'était pas là force anti dérive. Voilà pourquoi nos ancêtres ne pouvaient naviguer qu'au portant. Bien que la gîte soit grisante je sais je radote , elle est avant tout un faux sentiment de vitesse. Il y a beaucoup plus rapide que le près. Maintenant, à savoir qu'elle est l'allure la plus rapide... oulà! Grande question que je ne m'aventurai pas à répondre de façon tranchée. Les avis sont partagés - Travers - Entre le travers et le largue - Largue - Grand largue j'ai certains doutes, mais j'ai déjà lu ça. Pour ma part, je dirais que ça dépend du type de vent au vent ou au portant. Au vent, phénomène "aile d'avion", la succion sera la plus forte lorsque le vent est perpendiculaire aux voiles, donc au travers. Au portant, j'aurais tendance à dire le largue, car ça serait l'allure où il y a le moins de turbulence sur la coque et la quille, si je ne m'abuse et où l'axe du vent est optimum au portant sur les deux voiles avant et GV. L'exemple concret de ce voilier semble conforter mes hypothèses. Cela dit, il y a tellement de facteurs à considérer... Je plussoie donc en disant que le vent arrière est l'allure la moins rapide... au portant. Car il y a encore plus lent que ça. Devinez quoi! C'est quand on gîte en masse beaucoup. Eh oui, c'est le fameux près. ^^ L'allure la moins rapide, c'est donc le près! Dès le grand largue quand la voile d'avant dévente, on peut monter le spi, donc le grand largue sera toujours plus rapide que le vent arrière... et "accessoirement" plus sécuritaire, nous éloignant ainsi du danger d'empannage involontaire. Remarque, ça ne coûte pas très cher d'installer une contre écoute sur la GV une retenue de bôme, si vous voulez . *** Difficile de pouvoir mettre son équipage au rappel sur un voilier dit de navigation de plaisance. ^^ Et puis, à moins d'être 20 scouts, je doute qu'une patrouille puisse faire le contrepoids sur un voilier de 6 tonneaux. Sur un catamaran de sport, ça, c'est une autre histoire. *** Je reviens sur l'alternative à l'enrouleur dès que je retrouve les infos. *** On vous autorise à rentrer à la voile dans les ports? Pas chez nous, sauf en cas d'urgence, de problème. 8 mendu1Membre honoré Forêt Campeur Nous a rejoints le 22 Janv 2007Messages 6 678Réside à ar vro vigoudenn Les très bons rentrent à la voile au port le chic du chic, mais c'est une pratique rare et aussi risquée . Il faut un bateau avec une certaine inertie . Pour un bateau d'un certain poids genre sabot le grand largue sûrement, en plus on peut pécher et fumer sa pipe . 9 Akela NDEAkela Nous a rejoints le 01 Avr 2005Messages 4 922Réside à Dijon Rentrer dans les ports à la voile n'est généralement pas interdit en France, sauf certains cas particuliers. En revanche, les manœuvres de port à la voile ne sont tout simplement plus possibles, vu la présence quasi-universelle de pontons. La différence entre un enrouleur et un emmagasineur, c'est que c'est presque la même chose, sauf que l'enrouleur est prévu pour pouvoir enrouler partiellement la voile, et naviguer avec la voile ainsi réduite, alors que l'emmagasineur est juste un moyen de rangement la voile est ou toute sortie, ou toute rentrée. Vous noterez d'ailleurs que les génois sur enrouleur présentent souvent des marques indiquant où on peut arrêter de l'enrouler, pour avoir une voile un peu moins mal foutue que si on arrêtait n'importe où. Bref, l'enrouleur est bien un système de réduction de voilure, comme les ris. Ce qui ne veut pas dire que c'est un bon système de réduction de voilure. Il n'est pas optimal, mais il est quand même fait pour ça. En ce qui concerne les GV sur enrouleur, il y a deux types enrouleur dans le mât, ou enrouleur dans la bôme. L'enrouleur de mât est une bouse pour bateaux de touristes, qui est complètement incompatible avec les GV lattées. L'enrouleur de bôme est un peu moins pire, mais dans les deux cas, il faut abandonner la possibilité de jouer sur le creux plus de possibilité de jouer sur la drisse ou sur la bosse d'empointure. En ce qui concerne les allures les plus rapides, il n'y a pas de généralités. Tout dépend du vent, du bateau ... et de l'équipage. D'où l'intérêt des polaires de vitesse, qui permettent de savoir si tel ou tel bateau est plus performant à telle ou telle allure, et à quelle vitesse il peut aller en fonction de celle du vent à cette allure. Si on regarde cet exemple de polaires pris au hasard sur internet image redimensionnée ... on voit bien qu'il y a des différences ! Certains bateaux remontent mieux au vent que d'autres, certains sont plus rapides au largue, d'autres au grand largue ... Le même bateau peut avoir de grosses pointes de vitesse par vent fort sous certaines allures, mais beaucoup moins de différences par rapport à d'autres allures si le vent est moins fort. Bref, ça dépend vraiment du vent et du bateau. Il n'y a pas de généralités ; la seule constante qu'on voit, c'est qu'au près, on n'avance pas ! Trident, merci pour le schéma du barber-hauler J'avais bien visualisé le truc, donc, en fait Ce qui m'avait troublé, c'est que 1 pour moi, barber spi, et que 2 pour moi, la contre-écoute, c'est juste l'écoute de l'autre bord, qui ne sert à rien tant qu'on ne vire pas. Si j'ai bien compris, le barber-hauler rajoute un 3° bout sur le point d'écoute du génois ... ça commence à faire ! Mais on pourrait imaginer d'utiliser, justement, LA contre-écoute comme barber-hauler, avec un rail de chariot d'écoute qui irait jusqu'à la proue ... À se demander pourquoi ça n'a pas encore été fait 10 KhoubaProgressant Mer Matelot Nous a rejoints le 09 Sept 2009Messages 12Réside à Nantes Citation Les très bons rentrent à la voile au port le chic du chic, mais c'est une pratique rare et aussi risquée . En France il est aussi interdit en temps normal de rentrer à la voile dans un port, car en effet cela représente de trop grands risques pour le voilier en lui-même comme pour les autres usagers seul les voiliers ne possédant pas de moteur qu'il soit inboard ou hors-bord sont donc autorisés à effectuer cette manoeuvre... Ce qui ne concerne donc en général que les petits gabarits. 11 KhoubaProgressant Mer Matelot Nous a rejoints le 09 Sept 2009Messages 12Réside à Nantes Renseignements pris, il semblerait que l'interdiction de rentrer à la voile dépende des ports... besoin de se renseigner en arrivant dans un port qu'on ne connaît pas 12 mendu1Membre honoré Forêt Campeur Nous a rejoints le 22 Janv 2007Messages 6 678Réside à ar vro vigoudenn Très bien, mais si au moment de rentrer au port ton moteur te lâche... J'en connais qui attende le dernier moment pour rentrer la voile, et si on s'est entrainer avant , les sueurs froides . Dans le passé, on devait avoir une godille à bord .Ce n'était pas idiot, et certains vous dirons qu'on peut déplacer un bateau de plusieurs tonnes avec une godille . La course à la godille.. Il y a la colère des vieux papys qui reprochent que dans les écoles de voile on n’apprend plus l'indispensable . C'est vrai que dans le passé, la voile était une suite de péripéties permanentes ! c'est bien pour ça que Kersauson dit que les scouts marins sont les meilleurs, et aussi parce qu'ils vont dans des endroits où personne ne va ! ma godille m'a sauvé quelques fois de situations périlleuses bien que je ne sois pas un bon godilleur . 13 tridentMembre confirmé Nous a rejoints le 28 Fév 2009Messages 1 494Réside à Montréal, Québec Akela NDE m'a devancé pour l'explication de l'emmagasineur. vu que je voulais quelques détails supplémentaires, j'attendais l'avis d'un vieux loup de mer. C'est donc un système qui permet d'enrouler la voile sur elle-même en fait sur une ralingue anti torsion pour éviter d'endommager la voile. C'est tout ou rien tout rentré ou tout sorti. Ainsi, la voile possède tous les avantages d'une voile sur mousquetons ce qui est impossible avec un enrouleur sans ses inconvénients, c'est à-dire de devoir dépêcher à l'avant un équipier pour la sortir ou la rentrer. C'est vraiment le top du top des machins pour rentrer et sortir une voile d'avant en équipage réduit, tout en pouvant conserver tous les ajustements inimaginables de la voile . L'inconvénient principal, et de taille, c'est son prix. On parle facilement de 700€ à 2600€ uniquement pour le mécanisme lui-même. À cela, il faut rajouter la ralingue anti torsion facilement 450€. Comme il est judicieux d'avoir deux voiles prêtes à sortir, il faut alors doubler le coût. Merci pour les polaires vitesses. Un schéma pour tout résumer. Désolé pour la terminologie. Quand je parle de contre-écoute, je parle d'un cordage qui effectue la tension contraire de l'écoute. Donc l'écoute hale vers l'arrière la voile d'avant. Je ne vois pas comment on pourrait se servir de l'autre écoute pour haler la voile vers l'avant et pouvoir la récupérer sans problème lors du virement de bord. Oui certes, si on prolongeait son chariot jusqu'à la proue, cela serait faisable, mais ça ferait un rail inutile sauf pour la portion à la proue. Et puis, il faudrait inventer un moyen de déplacer le chariot automatiquement... Et puis ça commencerait à congestionner à l'avant avec les taquets, le puits d'ancre, les sacs de voile ou la soute à voile. Ça demanderait une proue plus large. ^^ Oui, ça fait effectivement 3 cordages de noués au point d'écoute. La plupart des oeillets sont assez gros pour cela. ^^ 14 Akela NDEAkela Nous a rejoints le 01 Avr 2005Messages 4 922Réside à Dijon Citation Ça demanderait une proue plus large. ^^ Comme ça ? Non, sinon, sérieusement, l'emmagasineur c'est bien en voile légère, ou alors si on a une trinquette à côté ... Sinon, vu que c'est tout ou rien, comment tu fais pour réduire ta toile ? Et puis sinon, pour être un peu réaliste, chez nous, quand on veut naviguer sur un bateau un peu conséquent, on loue. Et si on loue, sauf extraordinaire, on a un génois sur enrouleur. Donc voilà. Après, si on peut avoir son bateau à soi, on peut déjà plus réfléchir, mais tout le monde n'a pas les moyens genre dimanche, un commercial a voulu me refiler un Salona 33, vraiment abordable seulement 120000 € ... Le prix d'une maison . Bon, non mais sinon, sérieusement, vieux loup, oui, mais de mer, vraiment très modestement 15 tridentMembre confirmé Nous a rejoints le 28 Fév 2009Messages 1 494Réside à Montréal, Québec Ah oui, un truc aussi large, je n'aurais pas cru que ça existâte. L'emmagasineur, c'est en voile d'avant tout court. "Légère" ou pas. Si tu tiens absolument à réduire ta voile d'avant, tu prends un ris dedans. C'est là tout le problème de l'enrouleur et de la voile qu'on y met généralement dessus. Il s'agit souvent d'un génois arrivant au quart ou au tiers de la bôme de la GV, conçu pour de la jolie brise Beaufort 4, vraiment pas plus. Une telle voile n'est pas donc conçue physiquement pour recevoir des vents de plus de 15 noeuds. Au-delà, on endommage le tissus et évidemment, on gîte à mort, d'où le réflexe de vouloir enrouler pratiquement à moitié ce génois de ouf, se faisant, on perd les 2/3 du creux et autant de puissance. Évidemment, sur une location, on fait avec ce qu'il y a sur ledit voilier loué. ^^ Bah un Salona 33, ça semble valoir ce prix-là, non? 120k€ pour une maison, elle doit être en banlieue éloignée. Bien que je te considère comme un Vieux-Loup et de mer expérimenté - si si, ne soit pas si modeste , je ne faisais pas allusion à toi, mais à mon mentor, qui m'a d'ailleurs répondu à ce sujet. ^^ 16 Patientez... >>Le fuseau a été fermé par un modérateur Patientez... Aucun sujet lié © contact webmestre . 78 582 395 26 759 603 682 337

bateau possédant une grande surface de voilure