Jesuis enceinte. Même l’écrire est bizarre et irréel. Je sais que tu vas trouver que je ne suis pas raisonnable, mais j’imagine parfois pouvoir garder cet enfant. C’est sans aucun doute un accident, mais aussi le fruit de notre amour et je ne parviens pas vraiment à admettre que nous pouvons choisir de ne pas le faire vivre Après une séparation, il peut arriver que les enfants souffrent du divorce de leurs parents et surtout du comportement de leur mère. Si vous êtes dans ce cas, voyons ensemble comment retirer la garde d’un enfant à une mère irresponsable. L’autorité parentale n’est pas considérée comme un acquis. En effet, les parents peuvent ne plus avoir d’autorité sur leur enfant pour des motifs que l’on qualifie de graves. Le retrait de la garde de l’enfant peut concerner les deux parents ou l’un d’eux. Généralement, les hommes sont connus pour être les malchanceux des décisions de justice portant sur la garde des enfants, mais il arrive aussi que les femmes en soient aussi affectées. Dans quels cas exercer le retrait de la garde ? Les cas de retrait de la garde d’un enfant à ses parents sont multiples. Lorsque le parent est instable du point de vue social ou professionnel, lorsque le parent représente un danger pour son enfant et fait preuve d’un désintéressement total envers l’enfant, lorsque le parent ou l’enfant est condamné pour un crime ou un délit, celui-ci peut perdre la garde de l’enfant. Une mère se verra séparer de son enfant si elle fait preuve d’irresponsabilité, c’est-à-dire qu’elle ne joue pas bien son rôle de mère, elle est peut être alcoolique, ne s’occupe pas bien de l’enfant, c’est un danger permanent pour l’enfant. Il est bon de savoir que la décision de la garde ou non de l’enfant par l’un des parents est le propre de la justice. C’est donc un juge pénal ou civil qui donne ce verdict en fonction de la confiance qu’il dévoue à l’un des parents. Si la mère n’est pas une personne digne de confiance selon les faits, le père est l’heureux gagnant de l’affaire même si ce n’est que provisoire. Les différents lors d’un divorce Le divorce a été instauré sous Napoléon Bonaparte. Depuis, il a énormément changé, et un mariage sur deux finit en divorce en France. Le divorce n’est pas une partie de plaisir, encore moins lorsque des enfants sont touchés. La plupart des divorces ne se passent pas très bien, notamment parce que les deux parents ne sont pas d’accord. Il peut y avoir des problèmes d’argent, comme quoi l’un ne veut pas continuer à payer des dettes par exemple, ou encore juste parce qu’ils ne s’entendent plus. Cependant, il peut arriver que les couples divorcés aient un ou plusieurs enfants, et qu’ils soient en désaccords avec la garde. En effet, il est possible d’instaurer une garde alternée, cela veut dire que l’enfant ira un weekend sur deux chez sa mère, et l’autre weekend chez son père par exemple. Mais certains parents ne sont pas d’accord avec ça et préfèrent avoir la garde complète de leur enfant. Si c’est le cas, il faut que le parent en question prouve aux Juges aux Affaires Familiales que l’autre parent ne peut pas s’occuper correctement de son enfant, notamment parce qu’il est alcoolique par exemple. Le juge devra donc donner son verdict en fonction des preuves et des arguments que donne le parent qui souhaite garder son enfant. Sil est pas déconseillé aux femmes enceintes de prendre le volant, il est néanmoins nécéssaire de prendre quelques précautions.

Le viol est toujours un traumatisme qui peut générer un profond mal-être dans la vie de ses victimes. Cet évènement dévastateur peut être à l’origine d’un sentiment profond de honte, de colère, de culpabilité qui laisse des stigmates psychologiques définitifs. Cette épreuve peut être difficile à surmonter pour la mère comme pour le fruit de ce viol. Si certaines mères font le choix de l’élever malgré le traumatisme, d’autres recourent à l’avortement par volonté d’oublier cette tragédie. Eclairages sur ces proies viol une épreuve dévastatriceEnfants nés du viol un choix maternelDéclencher une souffranceComprendre par les motsDans la vie d’une femme, le viol peut être un évènement causant de nombreuses conséquences psychologiques et provoquer un syndrome post-traumatique. Si ce crime engendre une grossesse, il peut être difficile pour ces victimes d’envisager le choix d’élever l’enfant issu d’un viol. D’autres, au contraire décident délibérément d’accueillir ce dernier et de le regarder grandir envers et contre viol une épreuve dévastatriceEngendrant de nombreuses retombées psychologiques, le viol est une épreuve difficile à surmonter. Choc, culpabilité, déni, colère, dépression sont autant de conséquences dont peuvent pâtir les victimes de cette agression sexuelle et les empêcher de recourir à des procédures judiciaires. D’autres comportements tels que la consommation de toxiques, l’anxiété, l’automutilation, les pathologies mentales découlent potentiellement de ce traumatisme. Lorsqu’une grossesse est engendrée par ce crime, la femme peut faire face à de nombreux questionnements et un dilemme issu de cette annonce l’élever ou recourir à l’interruption volontaire de cette nés du viol un choix maternelSi la mère décide de mener à terme sa grossesse et d’élever son enfant, ce choix délibéré n’est pas pour autant sans conséquences sur la psychologie de la victime de ce traumatisme. Une femme violée qui donne la vie peut voir en son bébé le rappel incessant de cet évènement tragique et ressentir de la colère à son égard. Seulement, cette projection n’est pas pour autant inéluctable si cette naissance particulière est consolidée par un travail sur soi et un possible accompagnement thérapeutique. L’enfant peut également souffrir s’il prend connaissance de l’histoire de sa naissance et ressentir de la culpabilité ou de la honte. Le viol engendre alors deux traumatismes celui de la mère et de son enfant potentiellement victime de une souffranceDans un témoignage relayé par l’ONU Femmes , Ajna Juzic raconte son histoire, celle d’être une enfant née d’un viol. Longtemps, elle a vécu dans le secret d’une histoire lourde et douloureuse portée par la mère. Elle ne disait rien pour me protéger et pensait que si elle me révélait la vérité, j’aurais honte et la rejetterais » raconte la jeune femme, qui un jour a su que sa mère avait été violée en faisant des recherches. Je me souviens encore de la douleur que j’ai ressentie à ce moment-là, comme si j’avais été le déclencheur de la souffrance » explique-t-elle. Une culpabilité qui lui a valu d’étudier la psychologie mais également de suivre une psychothérapie pendant plusieurs par les motsPour Muriel Salmona, psychiatre interrogée par nos confrères du Figaro , la paroles des femmes violées peut finir par se libérer si son environnement est bienveillant. Une fois que la victime a été mise en sécurité afin de pouvoir se reconstruire émotionnellement, toutes sortes d’évènements positifs peuvent déclencher en elle la liberté de parler » précise la spécialiste. Une note d’espoir pour ces mères en proie au silence. Lire aussi Une fille de 13 ans se suicide après avoir été violée par six hommes

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