Muséedes Beaux-Arts Tours: Son et lumières autour de la renaissance - consultez 336 avis de voyageurs, 896 photos, les meilleures offres et
ouvert jusqu’au samedi 26 octobre 2019 du mercredi 2 octobre jusqu’au dimanche 13 octobre 2019ouvert du mercredi au vendredi 10H12H à 14H18H et samedi-dimanche de 15H à 18H du mardi 15 octobre jusqu’au samedi 26 octobre ouvert du mardi au samedi de 14H à 18H BRÈVE HISTOIRE DE LA PEINTURE DE PAYSAGE EN OCCIDENT »A TRAVERS LES COLLECTIONS DU MUSÉE SALIES En Chine et au Japon, la peinture de paysage est pleinement inhérente aux fondements de leurs valeurs culturelles. Elle en est un enjeu spirituel majeur qui traduit une quête d’harmonie avec la Nature et les éléments fondamentaux qui la composent Terre, air, eau, feu, espace ».En Occident, il en va tout autrement. La peinture de paysage s’exprime plus tardivement. Elle suivra un long cheminement d’émancipation durant les siècles. Par quel parcours, cette peinture de genre, si longtemps inexplorée, s’affirme comme sujet autonome ? En quoi devient-elle un thème essentiel pour un grand nombre de peintres ? comme un genre majeur et avoir une reconnaissance universelle ? Un court rappel historique appuyé autant que possible sur quelques œuvres du musée Salies, nous permettra de jalonner cette lente évolution de la peinture de mieux comprendre le processus, utilisons la définition du paysage que nous propose le dictionnaire 1° partie d’un pays, étendue de terre que la nature présente à l’observateur,2° figuration picturale ou graphique d’une étendue de pays où la nature tient le premier rôle et où les figures d’hommes, d’animaux et les constructions fabriques sont accessoires. En s’appuyant sur ces données nous pouvons avancer que le monde Antique et le Moyen Âge ne questionnent pas réellement la représentation picturale du paysage. Il est esquissé et dépourvu de réelle terme de paysage n’apparaît qu’à la Renaissance. L’utilisation de la perspective, permet au paysage d’intervenir dans les compositions picturales. Il sert essentiellement comme élément de structure et de ponctuation aux élaborations spatiales. Pour que le paysage prenne sa signification, il faut attendre le XVè siècle, dans les Flandres. Il devient un enjeu pictural plus conséquent. Flamands et hollandais, vont se passionner à le découvrir, à le traduire et le faire entrer dans l’Histoire de l’ Hollandais étaient à juste titre fiers d’un pays qu’ils avaient en partie créé en repoussant la mer et qu’ils venaient de libérer de la domination espagnole. Le calvinisme dominant et le régime républicain n’étaient pas très favorables à l’épanouissement de la peinture religieuse et de la peinture d’histoire. La présence d’une bourgeoisie aisée, cultivée, désireuse d’orner ses demeures urbaines de tableaux, a favorisé l’essor du paysage hollandais au Siècle d’Or »Ces peintres nordiques sont attentifs aux ciels changeants. A la lumière d’une saison ou d’un moment de la journée, ils occupent souvent les deux tiers de leurs tableaux. Si l’horizon de leurs paysages est bas le Plat Pays, l’attention des peintres hollandais se porte aussi avec une minutie de cartographe sur les églises, moulins, chemins et champs cultivés. L’homme y est présent, mais c’est un personnage contemporain et non mythologique. De plus, ces peintres ont recours à un système de représentation de l’espace différent de la perspective linéaire adoptée par les Italiens. Par une subtile utilisation des teintes chaudes au premier plan, et de plus en plus froides dans le lointain, par l’estompage des contours au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’horizon, ils créent l’illusion de la profondeur, c’est la perspective atmosphérique » qui était déjà présente chez Van la France du XVIIè siècle, le voyage en Italie fait partie de la formation des peintres. En 1666, la création de l’Académie de France à Rome facilitera les séjours des artistes français. Ces peintres ne peignent pas en plein air la campagne romaine. A partir de croquis, de souvenirs, l’artiste recompose en atelier un paysage amélioré, un paysage idéal », avec ses références bibliques ou mythologiques. Nicolas Poussin 1594 – 1665 en est un remarquable exemple. A la fin du XVIIè siècle et au début du XVIIIè se développe en Italie un genre particulier de paysage, la veduta » vue, en italien. Ils sont essentiellement urbains et d’une grande exactitude topographique. Ces vues, fidèles à la perception optique de la réalité, sont souvent réalisées à l’aide d’instruments, en particulier la camera oscura » chambre noire. Les vedutistes travaillaient pour de riches étrangers, surtout Anglais, qui effectuaient une sorte de voyage de fin d’études, le Grand Tour », qui les conduisait en Italie. Ces précurseurs des touristes riches et cultivés, désiraient emporter en souvenir des vues précises de Rome ou de Venise d’où la nécessité de l’exactitude topographique et du petit format. Au XVIIIè, le Siècle des Lumières » porte un profond intérêt pour la nature. La sensibilité au paysage naturaliste se manifeste avec engouement. Le développement des cabinets de curiosités » tout autant que l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert en témoignent. Les penseurs l’observent et l’interrogent. Jean-Jacques Rousseau l’y introduit dans la Nouvelle Héloïse et dans Les Rêveries du Promeneur solitaire. Les peintres tels que Fragonard et Watteau, dans leurs scènes galantes et libertines, l’honorent et la la deuxième moitié du XVIIIè siècle, où triomphe le néoclassicisme mais où s’annonce aussi le préromantisme, Hubert Robert connaît le succès en peignant des paysages avec des ruines antiques. Oh ! les belles, les sublimes ruines ! » s’exclame Diderot, philosophe et aussi grand amateur d’art. Au XIXè, avec le Romantisme, le paysage devient un sujet à part entière. Il est un thème majeur de ces peintres. Les peintres romantiques transfèrent dans le paysage tous leurs états d’âme. Mélancoliques, ils aiment les bords des lacs, et les soleils couchants passionnés. Exaltés, ils recherchent la nature sauvage, les sommets inviolés, la mer déchaînée, tous ces paysages considérés jusque-là comme répulsifs et inquiétants. Levez-vous, orages désirés » s’écrie Chateaubriand tandis que Madame Bovary n’aime la mer qu’à cause de ses tempêtes ». Dans ses poèmes, dans ses dessins, Victor Hugo traduit l’amour des romantiques pour ces paysages peintres romantiques aiment aussi le dépaysement, l’exotisme, l’ailleurs. Les prospections coloniales dynamisent ces quêtes d’aventures. Ce n’est plus l’orient antique mais l’orient contemporain qui passionne. Au milieu du XIXè siècle la peinture de plein air prend tout son essor. La révolution industrielle, l’urbanisation croissante donnent la nostalgie des vertes campagnes. Un pas décisif sera franchi avec le développement des chemins de fer et l’invention du tube de peinture. Les peintres peuvent aller sur le motif et travailler en plein air. Camille Corot en est un des précurseurs. Ses vues de la campagne romaine ensoleillée, ses paysages d’Ile de France baignés d’une douce lumière, font de lui, selon Delacroix, le père du paysage moderne ».Les peintres de Barbizon Théodore Rousseau, Jean-François Millet, Narcisse Virgile Diaz de la Peña, Charles-François Daubigny et tant d’autres fixent sur leurs toiles la forêt de Fontainebleau, les prairies, les troupeaux, les clairières avec le réalisme des Hollandais du Siècle d’ peintres réalistes représentent la nature telle qu’elle est. Gustave Courbet dit la peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes. Le beau donné par la nature est supérieur à toutes les conventions de l’artiste ». Au même moment Edouard Manet est refusé au Salon pour avoir introduit dans le paysage de son Déjeuner sur l’herbe » des femmes dénudées qui ne sont ni des déesses ni des nymphes antiques…Au dernier quart du XIXè siècle, le paysage va connaître son apogée avec l’Impressionnisme. La peinture traduit la lumière, le paysage en est son meilleur interprète. Le sujet est absorbé dans l’atmosphère et la vibration lumineuse de l’espace, des matières, des reflets, des ombres. La touche est apparente, tout est couleurs. La lumière est début du XXè siècle est une conquête de nouveaux territoires de la peinture. Les avant-gardes s’émancipent et inventent de nouvelles approches visuelles. Pour Cézanne 1839-1906 comme pour les impressionnistes aucune peinture réalisée en atelier n’atteindra jamais celles peintes à l’extérieur ». Outre l’approche instantanée des peintres impressionnistes, chez lui, le paysage n’est pas uniquement un chromatisme lumineux mais aussi une composition structurale. La couleur est utilisée comme matériau. Il traite, construit et synthétise la nature par le cône, le cylindre et la sphère ». Par cette démarche, il plante le décor, le chevalet, de ce que l’histoire de l’art définira comme la suite, les peintres Fauves Matisse, Derain, etc. ont recours à de larges aplats de couleurs pures et éclatantes. Les paysages éclaboussent librement de puissantes tonalités. C’est une peinture sans recul, instinctive. Les peintres Cubistes exploreront les leçons de Cézanne tout en définissant d’autres enjeux. Ils abolissent la perspective et décomposent l’espace pour le soumettre à différents angles d’approches visuelles. Dans l’héritage de Van Gogh et dans l’horreur de la première guerre mondiale, les peintres expressionnistes puiseront les couleurs de leurs palettes pour invoquer leurs tourments. Avec Kandinsky, fondateur de l’art abstrait, la peinture n’a plus besoin de sujet. Elle ne cherche plus à imiter la nature. Le paysage, la réalité visuelle n’est plus nécessaire à peindre pour traduire la dimension de l’espace intérieur du peintre. La peinture est livrée à elle-même. Elle se suffit en soi. Chromatismes, formes, taches, traces, rythmes, matières etc. sauront tout autant traduire les sentiments et les émotions des artistes. …Aucun de ces mouvements n’est représenté dans les collections du musée Salies. Au XXIè siècle, le rapport des artistes à la nature semble plus conséquent que jamais dans l’histoire de l’art. A la Renaissance, les humanistes mettent l’homme au centre du monde et de la création. De nos jours, l’anthropocène l’ère de l’Homme est un terme spécifique qu’utilisent les scientifiques pour étudier l’impact global de l’homme sur le monde et son écosystème. De très nombreux artistes œuvrent aussi en référence à ces problématiques. L’art contemporain est marqué par de nouveaux comportements et un large brassage artistique sur ces questionnements. Avec les problèmes écologiques, les pollutions, le réchauffement climatique, l’explosion démographique et la révolution numérique, tout s’accélère et devient mondialement exponentiel. Que ce soit avec des outils traditionnels, des installations, du land-art, du street-art, la photographie, la vidéo ou les arts numériques, la nature, l’environnement, l’espace urbain, le cadre de vie, le paysage sont au cœur des préoccupations artistiques. La compréhension et la sauvegarde de la nature est dorénavant une indissociable image de l’Homme. Sous l’angle artistique, le paysage est son plus fidèle portrait.
Accueils de loisirs sans hébergement (centres de loisirs) ou avec hébergement (séjours, colonies) de Tours et Tours Métropole - Etudiants détenteurs du PCE (Passeport Culturel Etudiant) - Elèves des écoles des Beaux-Arts et étudiants en Histoire de l'Art - Elèves de l'école du Louvre - Personnes inscrites à l'école de la 2° chance
Le thème du mois d’avril du rendez-vous mensuel EnFranceAussi organisé par Le coin des voyageurs » est ornithologie » proposé par Annabelle Fréchette Un article qui entre dans ma série que visiter à tours? Je pensais vous parler des oiseaux de Loire, cormorans, hérons et autres aigrettes qui se baladent aussi dans la campagne… j’en vois quasiment tous les jours au fil de mes déplacements en voiture… sauf que bien entendu, le jour où je pense pouvoir en photographier… pas un à l’horizon ou bien trop loin pour mon petit zoom! J’aurais pu vous parler aussi du magnifique spectacle et des oiseaux du zoo de Beauval… mais je l’avais déjà fait ici Les maîtres des airs oiseaux zoo de Beauval Bref, comme dans la même période j’avais prévu d’emmener une amie visiter le Musée des Beaux-Arts de Tours … le plan B était trouvé! Ornithologie dans l’art! ok, c’est un peu loin de l’idée du thème de départ… désolée! Mais cest l’occasion de vous présenter ce beau musée de la ville de Tours! De nombreuses animations et ateliers y sont proposés pour les enfants, j’ai eu l’occasion d’en faire plusieurs, petits et grands en sont toujours sortis ravis, n’hésitez vraiment pas à participer aux animations et un dimanche par mois, c’est gratuit ! toutes les infos sur le musée A l’intérieur de plusieurs salles, on trouve des coffrets de jeux pour les enfants en lien avec les œuvres, des explications leur sont spécialement destinées, une visite à faire en famille! La visite commence avec un trait d’union avec la Loire, Olivier Debré dont je vous avait déjà parlé pour l’exposition qui lui est consacrée au CCCOD, Centre de Création Contemporaine Olivier Debré, de Tours CCCOD Les nymphéas d’Olivier Debré et que l’on retrouve au musées des Beaux-Arts en compagnie de Calder Le musée des Beaux-Arts de Tours est installé dans l’ancien parlais des archevêques, accolé au rempart du IVe siècle de belles vues sur la cathédrale des fenêtres des étages! sur un site occupé dès l’antiquité, on trouve dans ses souterrains une inscription lapidaire à la gloire des Turons. Le fonds le plus ancien du musée est constitué d’œuvres saisies en 1794 , en particulier les abbayes de Marmoutier, de Bourgueil et de La Riche, ainsi que des tableaux et un exceptionnel mobilier provenant du château de Chanteloup et de Richelieu. voir visiter Richelieu, la ville du Cardinal et ses musées! La dispersion, en 1863, de la collection Campana, acquise par Napoléon III, valut à Tours de recevoir 94 objets antiques. Dépôts de l’Etat, legs et dons enrichissent le musée avec l’Ex-voto de Rubens, les deux panneaux d’Andrea Mantegna, Le Christ au Jardin des Oliviers et La Résurrection, et des œuvres de Rembrandt, Champaigne, Ingres, Van Loo, Vernet… La collection de peinture française du XVIIIe siècle est l’une des plus importante de France et celle des Primitifs italiens la plus riche après le Louvre Lorenzo Veneziano, Naddo Ceccarelli, Niccolo di Tommaso, Lippo Vanni, Lippo d’Andrea, Cecco di Pietro, Giovanni di Paolo, Antonio Vivarini… Le XIX ème est représenté par l’école néo-classique Suvée, Taillasson, le romantisme Vinchon, l’orientalisme Belly, Chassériau, Delacroix, le réalisme Bastien-Lepage, Corot, Cazin, Gervex jusqu à l’impressionnisme, post-impressionnisme, symbolisme Monet, Degas, Henri Martin, Le Sidaner, Wiem et en sculpture avec Barye, Bourdelle, David d’Angers, Rodin… Jean Béraud La collection d’œuvres du XXe siècle regroupe actuellement les noms de Geneviève Asse, Silvano Bozzolini, Peter Briggs, Pierre Buraglio, Alexander Calder, Joe Davidson, Olivier Debré, Maurice Denis, Jacques Monory, Bruno Peinado, Serge Poliakoff, Zao Wou-ki… Mais ne nous dispersons pas dans les collections, gardons le thème à la recherche des volatiles! Au fil de l'article sur Tours et Culture La collection XVIIIème siècleSébastien LE CLERC La Déification d’EnéeJean-Bernard RESTOUT 1732 – 1797 Philémon et Baucis donnant l’hospitalité à Jupiter et MercureCollections du XIXèmeEdouard DEBAT-PONSAN 1847 – 1913 Avant le balMaquette de Fontaine pour la Casa Vélasquez deMarcel Gaumont 1880 – 1962 Du côté des collections plus anciennesL’histoire de Camille d’après VirgileLe Musée des Beaux-Arts de Tours en pratiqueLes bonnes adresses d’EimelleExpositions au Musée des Beaux-arts de Tours La collection XVIIIème siècle Premières plumes aperçues un cygne Sébastien LE CLERC La Déification d’Enée puis une oie, en fâcheuse posture Jean-Bernard RESTOUT 1732 – 1797 Philémon et Baucis donnant l’hospitalité à Jupiter et Mercure Sur ce thème mythologique provenant d’Ovide , l’artiste adopte une composition réaliste un couple âgé, d’une extrême pauvreté, s’apprête à sacrifier son unique bien, une oie, pour offrir un repas aux deux hommes… dont ils ignorent l’origine divine… La version cartel pour les enfants Du côté des meubles aussi, de petits oiseaux se sont glissés… Côté plumes… La poésie, Nicolas Fouché 1653-1733 plumes qui peuvent être aussi décoratives tant pour les humains que pour les harnachements La foire de Bezons, vers 1700-1704, par Joseph Parrocel Collections du XIXème Edouard DEBAT-PONSAN 1847 – 1913 Avant le bal Les oiseaux dans le tableau du tableau ! Un détail du tableau Eros et Cupidon de Lecomte du Nouÿ, en 1873 Un oiseau en cage, détail d’un tableau de Jean-Pierre Vallet, portrait de Mme Neveu, fleuriste et marchande de fruits, vers 1830 Faïence d’Avisseau Petite fille nourrissant des poules, vers 1891, Edouard Debat-Ponsan Nu féminin de Marcel Gaumont Dans les collections antiques, c’est la chouette qui est à l’honneur, sur des vases mais on la retrouve aussi sur cette colonne aux faces ornées de personnages empruntés à la Mythologie grecque Maquette de Fontaine pour la Casa Vélasquez deMarcel Gaumont 1880 – 1962 Du côté des collections plus anciennes Sur un coffre de mariage, Florence , vers 1460, l’ancêtre de la BD, en plusieurs scènes L’histoire de Camille d’après Virgile pour les blasons tout autour du cadre Les messagers incontournables des annonciations, Giovani di Tano Fei A la chasse au faucon Enfin, pour croiser de vrais oiseaux, il suffit de tourner autour du Cèdre du Liban de 1804 du parc! et l’on ne quittera pas les lieux sans un petit bonjour à Fritz, l’éléphant du cirque Barnum abattu à Tours en 1902 alors qu’il était devenu incontrôlable lors de la parade du cirque et naturalisé. Bon, je me suis bien éloignée du thème de départ, mais j’espère que ce panorama des collections du Musée des Beaux Arts de Tours à travers l’angle oiseau » vous aura donné envie d’en découvrir plus et de pousser la porte du lieu! Le Musée des Beaux-Arts de Tours en pratique Le musée est ouvert tous les jours sauf le mardi de 9h00 à 12h45 et14h00 à 18h00. Gratuit le premier dimanche du mois. Au programme du printemps , à partir du 18 mai, une exposition consacrée à Balzac qui bénéficie déjà d’une salle dédiée dans le musée. Portrait de Balzac par Seguin et Maison du curé de Tours par Souillet Les bonnes adresses d’Eimelle En sortant du Musée, une petite pause gourmande au salon de thé Aux délices des Beaux-arts », où vous pourrez goûter si vous ne la connaissez pas encore, la spécialité de Tours qu’est le Nougat de Tours dont je vous parlais ici A déguster par exemple dans le Pour retrouver les liens des articles des autres participants, avec cette fois des oiseaux en plumes et en os, c’est ici
LeKiosk, jardin du musée des Beaux-Arts, Tours. Sur place et à emporter. Ouvert tous les jours jusqu’en septembre, de 11 h à 20 h 30 puis une heure avant le