Environ500 personnes étaient présentes, hier jeudi à Montpellier, à la manifestation appelée par le collectif « Pas de bébé à la consigne! ». Cette manifestation, composée dans son immense majorité de professionnelles de la petite enfance faisait suite à la mobilisation du 11 mars. Ce collectif demande l’abrogation du décret «Morano » qui

AccueilClub Education et Vie scolaireActualités Education et Vie scolaireToute l'actu Education et Vie scolaireActu expert Education et Vie scolairePas de bébés à la consigne relance la mobilisation contre le décret Morano Petite enfance Publié le 02/02/2011 • dans Actu expert Education et Vie scolaire, Actu expert santé social, France Suite à une rencontre nationale organisée le samedi 29 janvier 2001 à Paris, le collectif Pas de bébés à la consigne, qui réunit des professionnels de la petite enfance et des parents, a décidé de remobiliser ses troupes le 11 mars 2011, annonçant des initiatives diverses dans de nombreuses villes grève, manifestations ou rassemblements, débats publics ». Ma Gazette Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée Notre colère n’est pas retombée », explique Birgit Hilpert, éducatrice de jeunes enfants et l’une des porte-parole du collectif pas de bébé à la consigne, nous présenterons dans les prochains jours notre Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ».Dans le document de travail de ce Plan d’urgence, le collectif exige, notamment le retrait du décret Morano sur l’accueil collectif des jeunes enfants contre lequel le collectif a déposé un recours en Conseil d’État en août 2010,l’amélioration des taux actuels de professionnels qualifiés et des ratios d’encadrement,un plan ambitieux de formation de professionnels qualifiés pour créer places d’accueil manquantes,l’accès des professionnels ayant un CAP petite enfance et des assistantes maternelles agréées qui le souhaitent ... [70% reste à lire] Article réservé aux abonnés Club Santé Social, Club Éducation et vie scolaire VOUS N'êTES PAS ABONNé ? Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 30 jours J’en profite Nos services Prépa concours Évènements Formations
Nibébés ni parents à la consigne ! L’accueil et l’écoute, par les professionnel·le·s de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants sont primordiaux. Dans les lieux d’accueil de la petite enfance, la qualité de la rencontre avec les familles constitue un enjeu essentiel pour offrir aux tout
Ah qu’est-ce qu’on est serrés, au fond de cette crèche ! Chantent les bébés, chantent les bébés… »De la Caisse des écoles à la préfecture de Limoges, le cortège du collectif Pas de bébés à la consigne » a fait savoir, ce mardi, son désaccord avec les projets du gouvernement. Assouplir les conditions d’accueil pour proposer plus de places dans les crèches sans augmenter le nombre d’encadrants qualifiés ? C’est une idée intenable ! Nos conditions d’accueil sont déjà limites. On doit trouver sans cesse des solutions pour que le quota actuel n’impacte pas les enfants », répond Evelyne Krawczyk, adjointe technique dans une crèche de Limoges. Il faut arrêter, au nom du financier, de sacrifier la petite enfance en accueillant toujours plus d’enfants dans les structures existantes au lieu d’en ouvrir dautres ! On est en train de mettre en difficulté affective la jeunesse de demain. Si l’on est bienveillant dès la crèche, on fait des adultes équilibrés. » Ce qui demande des moyens. Avec leur projet, on passe d’un professionnel pour cinq enfants à un pour six ! » dénonce à son tour Karine Mercier, secrétaire de la section FSU Ville de Limoges. Et ce n’est pas tout ! Pour les petites structures, ils veulent mettre des personnes non qualifiées en petite enfance à la direction ! » Au sein de la profession, le sentiment rageant que travail et efforts quotidiens sont sapés par des gens qui ne connaissent rien au métier » est grandissant. C’est un métier difficile, qui n’est pas reconnu. Les professionnelles sont de plus en plus fatiguées ». D’ailleurs, les visages ont de moins en moins envie de rire lors des cortèges. Après la manif de ce mardi, une délégation a été reçue à la préfecture. On pense avoir été entendues » indique Evelyne Krawczyk, qui était présente. Marion Buzy

Pasde bébés à la consigne. 15,629 likes · 15 talking about this. Pas de bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil

l'essentiel Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance étaient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s’opposer à la réforme de l’accueil du jeune enfant. Pas de bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi, dans les rues de Carcassonne. L’objet de leur mécontentement l’article 99 de la loi d’Accélération et de simplification de l’action publique Asap sur la réforme de l’accueil des jeunes enfants. Une loi portée par Adrien Taquet, secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, publiée le 8 décembre dernier et dont le décret d’application est prévu pour septembre. "Cette réforme compile tout un tas de petites choses qui nivellent l’accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, représentante de la Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants Fneje. Parmi elles, la réduction du nombre de mètres carrés dévolu à chaque bébé les normes actuelles sont fixées à 7 m2 et devraient passer à 5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris où le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crèche, il va s’orienter vers des bâtiments plus petits… qui lui reviendront moins cher. Et le bien-être des enfants, on en fait quoi ?", peste Marie-Josée Albérola, responsable de crèche à Narbonne. De même, la baisse de qualification on pourra diriger une crèche sans expérience ; un apprenti sera compté dans les taux horaires ou l’augmentation du nombre de bébés par encadrant de cinq pour un on passerait à six pour un inquiètent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd’hui, c’est un adulte pour deux enfants logique, on n’a que deux mains. Mais à l’avenir, ce sera jusqu’à un pour cinq ! Comment va-t-on faire, sachant qu’un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s’échappe ? Pareil pour l’ouverture et la fermeture des structures nous sommes systématiquement deux, ce sera un à partir de septembre", souligne encore Delphine Le compensationEn guise de compensation, l’article 99 de la loi Asap prévoit d’accorder une demi-heure d’analyse de pratique par personne et par mois "Mais nous l’avons déjà mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d’heures plus large. Parce qu’on fait de plus en plus de soutien à la parentalité ou d’accompagnement d’enfants en difficultés. À Narbonne, par exemple, l’analyse des pratiques, c’est trois heures par mois. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années", précise Marie Josée les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagées visent à "créer des places de crèches sans donner de moyens, au contraire". Voilà pourquoi environ 80 d’entre elles ont battu le pavé ce mardi après-midi "Ce qui peut paraître peu mais on ne veut pas, non plus, pénaliser les enfants et les parents des sections ont fermé mais les autres sont restées ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition à cette loi", conclut Delphine Le Douarec.
Pasde bébés à la consigne : mise au point avant l'été Dans son tract de l'été dévoilé hier soir, Pas de bébés à la consigne annonce sa mobilisation à venir auprès des nouveaux élus. Gouvernement et groupes parlementaires vont devoir rendre des comptes ! Cela faisait un moment que le collectif n'avait plus donné de la voix Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance étaient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s'opposer à la réforme de l'accueil du jeune enfant portée par Adrien Taquet, secrétaire d'État en charge de l'Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé. "Pas de bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début après-midi, dans les rues de Carcassonne. L'objet de leur mécontentement l'article 99 de la loi d'Accélération et de simplification de l'action publique Asap portant sur la réforme de l'accueil des jeunes enfants. Une loi portée par Adrien Taquet, secrétaire d'État en charge de l'Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, publiée le 8 décembre dernier et dont le décret d'application est prévu pour septembre. "Une réforme qui compile tout un tas de petites choses qui nivellent l'accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, représentante de la Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants Fneje. De 7 à 5 m2 par enfant Parmi elles, la réduction du nombre de mètres carrés dévolu à chaque bébé les normes actuelles sont fixées à 7 m2 et devraient passer à 5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris où le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crèche, il va s'orienter vers des bâtiments plus petits... qui lui reviendront moins cher. Et le bien-être des enfants, on en fait quoi?", peste Marie-Josée Albérola, responsable de crèche à Narbonne. De même, la baisse de qualification on pourra diriger une crèche sans expérience ; un apprenti sera compté dans les taux horaires ou l'augmentation du nombre de bébés par encadrant de cinq pour un on passerait à six pour un inquiètent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd'hui, c'est un adulte pour deux enfants logique, on n'a que deux mains. Mais à l'avenir, ce sera jusqu'à un pour cinq ! Comment va-t-on faire sachant qu'un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s'échappe ? Pareil pour l'ouverture et la fermeture des structures nous sommes systématiquement deux, ce sera un à partir de septembre", souligne encore Delphine Le Douarec. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années En guise de compensation, l'article 99 de la loi Asap prévoit d'accorder une demi-heure d'analyse de pratiques par personne et par mois "Mais nous l'avons déjà mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d'heures plus large. Parce qu'on fait de plus en plus de soutien à la parentalité ou d'accompagnement d'enfants en difficultés. À Narbonne, par exemple, l'analyse des pratiques c'est trois heures par mois. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années", précise Marie Josée Albérola. Pour les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagées visent à "créer des places de crèches sans donner de moyens, au contraire". Voilà pourquoi environ 80 d'entre elles ont battu le pavé ce mardi après-midi "Ce qui peut paraître peu mais on ne veut pas, non plus, pénaliser les enfants et les parents des sections ont fermé mais les autres sont restées ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition à cette loi", conclut Delphine Le Douarec. Pétition“pas de bébés à la consigne” Publié le 20 avril 2009 par Torapamavoa Torapamavoa Nicolas @torapamavoa. Pétition “pas de bébés à la consigne” La volonté des Pouvoirs Publics de développer l’offre d’accueil du jeune enfant avec la création de 200 000 places d’accueil d’ici à 2012 est légitime. Mais les propositions de modification du décret du 20
l'essentiel Une centaine de professionnels de la petite enfance se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture à Rodez, à l'appel de la CFDT. Les agents des crèches, haltes-garderies et les assistantes maternelles refusent les mesures qui découleraient de la prochaine ordonnance et décrets, actuellement à l'étude. "Les bébés ne sont pas des sardines", "les bébés ne sont pas du bétail"..."Pas de bébés à la consigne", des phrases chocs, en forme de slogans. Les professionnels de la petite enfance craignent des conditions d'accueil, au rabais, des chères têtes blondes. Pour cela, ils se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture aveyronnaise. Travaillant indifféremment au sein des crèches et des haltes-garderies, mais également des assistantes maternelles, redoutent la prochaine ordonnance et ses décrets, sur lequel planche actuellement le gouvernement. Pour les syndicats dont la CFDT Inerco, la CGT et FO, ainsi que le mouvement national "Pas de bébés à la consigne" les conditions d'accueil des petits seraient assouplies par l'ordonnance. "Nous voulons savoir quel avenir nous attend et comment allons-nous nous occuper des enfants ? On n’entend pas les mettre dans une pièce et fermer la porte derrière", explique Gaël Lafarge, secrétaire départemental adjoint CFDT. Et d'ajouter "les structures d'accueil sont déjà saturées. Aujourd'hui, la capacité est de 110%. Le gouvernement voudrait la faire passer à 115% !". Les manifestants craignent également la dévalorisation des diplômes du personnel.
ALERTE! En France, la qualité d'accueil de la petite enfance est en danger. Demain, 11 mars, il y Publié le 24/03/2010 à 1054 Les slogans étaient recherchés, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni à la consigne, les bébés garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animé par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bébés à la consigne ! » parents et professionnels s'était fortement mobilisé pour la journée d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'établissements dans l'action. Hier, la crèche d'Agen était fermée ; du personnel de crèches associatives s'était déplacé à la manifestation. Nous voulons préserver la qualité de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrétaire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du décret contesté. Décret décrié A Agen hier, une délégation a été reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du Séjour. Une motion lui fut remise à défaut de rencontrer le député-maire ».Personnels et parents refusent les dégradations annoncées par le gouvernement sur la qualité des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif réclame également l'ouverture de négociations sur l'accueil des petits. Sans réponse favorable, le principe d'une journée nationale est décidé pour le jeudi 8 avril. . 167 234 732 152 34 29 238 542

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