Cetype de borne de recharge est équipé d’une puce. Elle capte le signal adressé par le lecteur de badge RFID et une antenne radio. La communication des deux éléments selon une puissance donnée permet de déterminer la distance de lecture. Lorsque l’utilisateur passe sa carte devant le lecteur de la borne publique, elle l’ identifie
Retour sur la conférence du 10 octobre 2013, organisée par la mission Science et Société de l’Université de Lyon et la Maison Rhodanienne de l’Environnement. L’identification par radiofréquence RFID s’est rapidement imposée en Europe dans les années 2000 et son utilisation s’est peu à peu banalisée, du secteur de la logistique jusque dans notre environnement quotidien. Pourtant, elle est aujourd’hui au cœur de l’actualité des nouvelles technologies de l’information et de la communication car elle suscite de nombreuses craintes relatives à ses risques et dérives potentiels, relayés aussi bien du côté des citoyens que celui des instances de régulation nationales et européennes. Entre vérité et fantasmes urbains, quels sont les véritables usages de cette technologie, et en quoi peut-elle porter atteinte à certains de nos droits fondamentaux ? Que désigne la RFID ? L’identification par radiofréquence reste une technologie méconnue du grand public. Pour nous en expliquer le fonctionnement, Christian Perrot, conseiller en nouvelles technologies, avait mis à notre disposition divers outils de démonstration un système RFID de l’anglais radio frequency identification se compose ainsi d’une radio-étiquette, ou tag, comprenant une puce informatique couplée à une antenne, où sont inscrites des informations que décryptent les lecteurs appropriés. Puces RFID Lecteur HF Antenne HF Le dialogue s’effectue aussi bien en émission qu’en réception, et contrairement aux codes-barres et autres QR codes, l’avantage d’une puce RFID est que l’on peut à la fois écrire et renouveler les données qu’elle contient. La distance de lecture peut aujourd’hui s’étendre à plusieurs dizaines de mètres, et la plupart des lecteurs possèdent un système de traitement anticollision », permettant de gérer la présence de plusieurs marqueurs dans le même champ de détection. Quels en sont les usages actuels ? Gestion des stocks, suivi du bétail, contrôle de la chaîne du froid, lutte à la contrefaçon, badges d’accès, expositions dans les musées la RFID s’applique à des domaines très variés, et nous la retrouvons dans de nombreux objets de la vie quotidienne comme nos titres de transports, passeports électroniques ou certaines cartes de paiement. Pour Christian Perrot, les puces RFID sont soumises à une véritable stratégie sociologique » visant à en favoriser l’usage. Plusieurs pays européens imposent ainsi cette méthode d’identification pour les animaux domestiques et, en France, des maternités proposent des bracelets électroniques visant à prévenir l’enlèvement des nourrissons. Plus incroyable encore, en Espagne, des puces sont implantées sous la peau et servent de moyen de paiement aux membres VIP d’une discothèque. Risques de dérives et mesures de régulation Combien de puces RFID ai-je sur moi sans le savoir ? », Est-il possible de nous localiser et de nous suivre à la trace, à la manière des films d’espionnage américains ? », Avec les puces RFID, Big Brother est-il en train de nous surveiller ? », s’interrogent les citoyens présents. Christian Perrot nous explique que le danger principal des puces RFID réside dans l’absence de signal indiquant la reconnaissance du couplage, ce qui veut dire que l’on peut être détecté sans le savoir, dans le cadre d’une interaction non volontaire ». En ce qui concerne la géolocalisation, la RFID reste imprécise et ne permet pas la surveillance continue des individus, contrairement aux GPS dont sont dotés nos smartphones, utilisant par ailleurs la technologie NFC near field contact, dérivée de la RFID. Néanmoins, l’ensemble des données à caractère personnel qu’incluent les puces RFID que nous utilisons, souvent à notre insu, pourrait permettre par recoupement une identification à distance des personnes et de leur comportement de consommateur. Devant la banalisation et l’usage extensif de la RFID, la CNIL et la Commission européenne s’inquiètent notamment du risque de traçabilité des individus, qui n’ont pas accès à leurs données. Les deux institutions préconisent ainsi une série de mesures visant à réguler l’usage de cette technologie et améliorer la protection des données personnelles Besoin de transparence les citoyens doivent être informés dès lors qu’un système RFID est susceptible d’interagir avec eux et doivent connaître les droits et obligations applicables. Des actions de sensibilisation sont nécessaires. Limitation de la durée de conservation des données, un élément repris tout au long de la soirée via les craintes du public venu assister à la conférence. Désactivation des puces après l’achat d’un article en magasin, lorsque la protection antivol ou la gestion de l’inventaire n’est plus de mise. Réalisation d’une évaluation d’impact sur la vie privée EIVP, préalable à la commercialisation ou la mise en service d’un système RFID. Normalisation des solutions, bonnes pratiques et codes de conduite des fabricants de RFID. Reste à prendre en compte l’aspect sanitaire, essentiel aux yeux du citoyen, qui questionne la dangerosité des ondes électromagnétiques émises par ce nouveau procédé, cumulées par exemple aux ondes déjà présentes dans la téléphonie mobile et les systèmes Wi-Fi. RFID progrès ou nouvelle forme de contrôle de l’individu ? La RFID présente des avantages technologiques et économiques certains, dus en partie à son faible coût de production, mais cette innovation soulève également de nouvelles questions éthiques et des risques de dérives venant toucher à nos droits fondamentaux. Sans tomber dans une forme de paranoïa luddite », il est clair que sa transparence auprès du citoyen demeure assez floue, et les promesses économiques de cette nouvelle technologie ne pourront emporter l’adhésion du public qu’après la mise en place de mesures préventives nécessaires en matière de sécurité et de protection des données privées, dans le respect de la liberté et des droits individuels du citoyen-consommateur.
Lapuce EM est une puce d'identification par radiofréquence sans contact dotée de la fonction de lecture/écriture. Il est intéressant de savoir que cette puce EM est une fonction de la microélectronique EM en Suisse avec une gamme de fréquence de 100-150 kHz. Si vous avez besoin d'une puce RFID sans contact qui nécessite une réduction Vous souhaitez créer un double exacte d'une carte RFID de type Mifare 1K ? Les cartes Mifare 1K sont généralement utilisées comme badges d'entrée dans des locaux. Elles fournissent 768 octets de stockage répartis sur 16 secteurs. Chaque secteur est composé de 3 blocs de 16 octets. Le bloc 0 contient l'identifiant unique de la carte. Celui-ci est protégé par défaut en écriture par les constructeurs des cartes. Cet identifiant stocké dans le bloc 0 par le constructeur de la carte est généralement utilisé comme identifiant principal des services qui utilisent ce type de carte. Seuls tous les autres blocs peuvent être lus et écrits par un lecteur / encodeur RFID à l'aide de LibNFC sous Linux par exemple. Sauf qu'en Chine, tout est permis ! Vous pouvez trouver des cartes RFID Mifare 1K avec le block 0 en lecture / écriture sur le site xfpga. C'est le seul fournisseur "officiel" que j'ai trouvé sur la toile ... Elles sont commercialisées au prix de 25$, il faut prévoir un coût d'envoi de 8$. A titre de comparaison, une carte Mifare 1K coûte moins d'un euro. Ces cartes permettent normalement de pouvoir faire un clone exacte d'une carte RFID existante, y compris le bloc 0. Si vous pensiez que les cartes RFID représentent une solution sécurisée d'accès à des locaux, je viens de vous faire changer d'avis ;- Update La suite de l'histoire dans cet article Ludovic Passionné par le Web, le développement, la photo, les drones, la domotique et les nouvelles technologies, Geeek est un blog 100% personnel. Venez découvrir les origines de ce blog.Bonjour Jean-Philippe Il y a 23 heures, domergue a dit 20000 coups de cutter c'est impossible. Hum ? Je ne vois pas en quoi c'est impossible. Il s'agit juste d'intégrer le geste dans la procédure de mise en place des nouvelles puces, non ? Ok, le cutter, ça va endommager 20 000 documents, et il y aura de la perte. Mais ce n'est pas plus impossible que de repucer 20 000 documents. Ou alors, je n'ai pas compris le problème. Là , ça ne représente qu'un surcoût d'une minute par doc, soit 20000 / 60 = 334 heures de boulot en supplément. environ 5000 euros si c'est fait par un adjoint du patrimoine Avec un cutter, ça sera certainement plus long, il faut faire trop attention => là c'est injouable de traiter un document à la minute. Avec les systèmes de zapper, si on regarde ici On s'aperçoit qu'il faut environ une minute pour charger le système et le décharger. Le système est valable pour une puce, mais pas pour 20000. A voir si un marteau de tapissier à bout rond ne pourrait pas écraser l'antenne et la rendre inopérante. DG minime sur les documents fins, par contre les cartonnés Sinon, effectivement, il faudra se rabattre sur la solution d'Olivier H... mais avant de rééquiper les documents. Il y a 3 heures, domergue a dit Avant la vente pour les fournisseurs c'est toujours "bien sûr" et les surprises après l'installation. C'est pour ça que le "bien sûr" doit toujours se transformer en une ligne du contrat spécifiant que les problèmes d'incompatibilités seront résolus ou pris en charge par le vendeur des puces. Là , je peux vous garantir qu'ils vérifieront avant de s'avancer ils feront des tests. Pour le côté micro-onde, pas la peine d'essayer, ça va cramer la puce et le document. D'abord, essayez avec le couvrant pour regarder ce qui se passe au niveau des plastiques. Puis prenez les dans les mains pour voir si vous vous brûlez ! Si les agents se brûlent, ce n'est même pas la peine d'y penser. Et ça arrivera obligatoirement si on passe à une phase industrielle sur 20 000 documents. Sans oublier les risques d'incendie. Le magnétisme a l'avantage de n'abîmer que la puce... enfin, il faut l'espérer.
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